I'm just a curious human. [fini]

Prénom: Pan
Nom: Inconnu
Age: 15 ans
Race: Humain.

Caractère:[Minimum 5 lignes]
Pan est très associale. Elle est solitaire, silencieuse, discrète. Elle n'aime pas trop les rassemblements et ne supporte pas ceux qui parlent pour ne rien dire. Elle peut être très cruelle envers ceux de sa race. Elle est pourtant mature, et très curieuse. Elle ne parle que lorsque c'est nécessaire ou qu'il y a une raison bien particulière. Elle ne raconte pas sa vie. Malgré ses quinze ans, elle parrait aussi mature que ses professeurs. Se qu'elle préfère c'est se battre, et elle y prend un plaisir incontestable. Elle peut parraitre égoïste mais elle ne se battra pas si elle ne gagne pas quelque chose en retour. Elle est tout de même très renfermée et est toujours toute seule. Pourtant, elle ne cherche pas à être seule mais elle a simplement perdu l'habitude d'être avec d'autres personnes. Elle ne sourrit quasiment jamais, elle parrait toujours triste, déprimée. Lorsque l'on la connait bien, on peut bien mesurer qu'elle a ses raisons, et que ce n'est qu'un vieux traumatisme qui remonte à lorsqu'elle était petite.

Physique:[Minimum 5 lignes]
Pan est comme toutes les filles de quinze ans. Elle est mince mais pas très grande. Elle est bien proportionnée mais n'a pas beaucoup de formes. Ses cheveux sont bruns, ses yeux sont bleus clairs. Elle ne prète pas trop attention à comment elle s'habille. Elle a souvent le regard perdu dans le vide ou triste. Elle s'habille généralement avec un tee-shirt, une jupe courte et des chaussures, tout ceci de couleur noire. Elle porte un collier serré noir, avec comme pendentif une croix. Elle a également un bracelet noir, ou plutôt une petite chaine noire formant deux boucles autour de son poignet. Elle se ballade tout le temps avec un katana dans son dos, rangé dans un magnifique fourreau noir, fabriqué dans un bois précieux. Le katana a la garde noire et la lame fabriquée à partir d'argent et d'autres métaux. Elle est un peu musclée mais sans trop, disons que ça ne se voit pas. Ses cheveux sont longs, impécablement lisses. Elle a toutes ses chances pour devenir la preuve vivante du célèbre dicton : "Ne jamais se fier aux apparences" !

Histoire : [minimum 7 lignes]
Je suis née dans le froid d'une forêt. Cette image blanche de neige et rouge de sang, je m'en suis toujours souvenue, mais je ne sus jamais pourquoi il y avait tant de sang. J'ai grandi dans cette forêt, avec ma mère, mon père, dans un chalet en bois. Nous étions à une demi-heure de marche, en marche rapide bien sûr, de la première ville. Je n'y suis jamais allée. Mon père y allait, et il revenait avec de la nourriture. Ma mère s'occupait de moi. Je grandis dans la paix. A mes trois ans, j'appris la triste vérité sur ce monde. Je revenais de jouer, et j'entrais dans la maison. Je vis mon père, tenant ma mère dans ses bras. On aurait dit qu'ils s'embrassaient, mais mon père était juste en train de tuer ma mère. Je ne compris pas sur le moment, mais lorsque ma mère tomba et que mon père s'essuya le filet de sang qui coulait de ses lèvres, je compris immédiatement. Toutes ses histoires que ma mère m'avait contés, elles étaient finalement vraies : les vampires existaient. Mon père me dit alors :
"Eh bien ma chérie... tu ne veux pas caliner ton pauvre père ?"
Terrorisée, je m'enfuis. Il commença à me poursuivre, mais il semblait trouver ça amusant, et il ne me poursuivait pas vraiment. Ma mère était morte, et l'image de mon père la tuant était à jamais gravée dans ma mémoire.
Je continuais à courir, lorsque je tombai de fatigue. Je ne pouvais plus courir. J'étais épuisée. Deux hommes arrivèrent alors, et me virent, allongée sur le sol, à moitié inconsciente. J'entendis leurs pas sur le sol, puis plus rien.
Les années continuèrent à passer. Ces deux hommes, deux vampires, étaient pacifiques et ne s'étaient résolus à me laisser seule dans la forêt, vu que je portais une odeur de vampire due à mon père. Je n'eus pas de nouvelles de lui d'ailleurs. Pendant des années, aucune nouvelles. Les deux hommes qui m'avaient recueillis, Aaron et Dino, ne pouvaient pas transformer les humains en vampires, et ils prirent donc soin de moi. Ils m'éduquèrent, ils m'enseignèrent les maths, le français, le japonais, les bases de la phisique, et de l'histoire. Ils m'emmenèrent partout avec eux, sauf lorsqu'ils allaient se nourrir. J'avais treize ans lorsque je revis mon père. Je n'avait eu aucune nouvelles pendant dix ans. Depuis le meurtre de ma mère, il n'avait pas changé. J'étais seule, car ils étaient partis "manger". Je compris immédiatement qu'il n'était pas là pour jouer aux échecs. Après un court instant d'hésitation, je pris la fuite. Cette fois-ci, je compris qu'il était sérieux. Il commença par me poursuivre dans le petit village, puis il me suivit dans la plaine qui contournait le village. Il arriva à se retenir de me tuer jusqu'à ce que j'arrive devant la forêt, où il fit une accélération incroyable avant de me plaquer au sol, comme si je n'étais qu'un bout de tissus. J'eus le temps de pousser un cri, avant de sentir ses crocs dans mon cou. J'entendis alors des pas, rapides. Je sentis l'emprise de mon père moins forte, jusqu'à ce qu'il me lâche complètement. Encore sous le choc, je me redressai rapidement. Je vis Dino et Aaron, en train de se battre contre mon père. A deux contre un, ils étaient avantagés. Pourtant, mon père ne semblait pas être en mauvaise position. Soudainement, je vis Dino voler. Il s'était fait éjecté, et il atterrit devant moi. Il me tendit l'arme qu'il avait dans sa main et me dit :
"Prend-le. C'est un katana fait en partie d'argent. C'est le mien. Je te le donne."
A ce momment là, je vis qu'il était blessé. Il avait le poumon gauche perforé, et sûrement le coeur aussi. En larmes, je compris que cette blessure lui était fatale.
"Dino ! Dino ! Non, non ! Ne me laisse pas !"
Je pris l'arme qu'il me donnait, et il ferma les yeux. Essuyant une larme, j'avançais vers les deux combattants. Aaron était au sol, et mon père était sur le point de lui infliger la même chose qu'à Dino. Je sortis la lame du fourreau, et je la pris à deux mains. Avançant rapidement, je réussis à planter la lame dans la jambe de mon père. Aaron était encore vivant, et il n'avait pas de blessure trop dangeureuse apparente. Je me mis entre Aaron et mon père, tout en me protégeant du mieux que je pouvais. Je vis Aaron se lever, puis je sentis sa main sur mon épaule. Il se mit devant moi, puis il chargea mon père. Il réussit à l'immobiliser, je ne sus trop comment. Il me dit alors :
"Je ne peux faire plus, tu dois le faire Pan !"
Ayant compris ce qu'il voulait dire par là, je me raidis. Si je ne voulais pas mourir, je devais tuer mon propre père. J'aurais préféré mourir, mais je me dis que Dino n'aurais pas du mourir, et que son sacrifice ne devais pas être vain. Ainsi, un peu désorientée, je me précipitai sur mon père. Je pris grand soin de viser, et je lui plantai mon arme dans le coeur, ou du moins dans le poumon. Aaron lâcha alors mon père et m'attrappa, avant de m'emmener quelques mètres plus loin. Il me déposa délicatement au sol. Mon père s'éffondra au sol, mort.
"Père..."
Je fis une pause, sans savoir trop quoi dire.
"Pourquoi ne suis-je pas une vampire, si mon père en est un ?"
Aaron réfléchit un instant, avant de me dire :
"Sans doute parce qu'il a été transformé en vampire après ta naissance, ou du moins après que ta mère fut tombée enceinte."
Je fis oui de la tête. Puis, je compris. Cette image sanglante, le jour de ma naissance. C'était peut être ça.

Deux ans après, j'eus quinze ans. Aaron me dit :
"Tu devient grande, et tu dois vivre comme les humains. Tu es humaine, tu ne dois pas vivre avec moi. Il y a des choses qu'il aurait mieux fallu que tu saches."
Légèrement déroutée, je lui répondis :
"Mais... je suis bien avec toi, les vampires ne me font pas peur, je suis avec eux depuis ma naissance. Je ne peux pas tout oublier."
A son tour, il me répondit :
"Il y a des rumeurs concernant une école. On dit que les vampires y sont les bienvenus."
Je lui répondis ensuite :
"Et... leur existence est cachée ?"
Il fit oui de la tête.
"Je sais reconnaitre un vampire."
Il enchaina rapidement :
"Veux-tu aller dans cette école ?"
Je lui répondis, au taquet :
"Non ! Je veux rester avec toi !"
Il posa sa main sur ma tête et me dis :
"J'ai des choses à faire, des choses que je ne peux pas faire avec toi. Tu dois vivre comme n'importe quel humain. Tu es humaine. Je reviendrais."
N'ayant pas trop le choix, j'acceptais. Depuis ma tendre enfance, j'avais mûri. Mon caractère avait changé. A présent, j'étais inscrite dans cette école. Et je ne savais pas trop à quoi m'attendre.

Plus: Ne venez pas lui chercher des embrouilles, ou vous finirez mort (ou gravement blessé ). Valable pour les vampires et les humains, elle n'est pas raciste . A bon entendeur, salut.

Code: Validé par Amelia

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Cette fiche est parfaite, je ne peux que valider ^^

Bienvenue à la pension, Paon-chan =) #SHBONG#

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